(4/01/2007) Intermède explicatif sur le "on".
Il existe en français plurinational (et non international, esscusez la nuance), trois sortes de "on". Le Français, bien connu, qui couvre tout le monde, sauf la personne qui parle. Genre: "ON fait rôtir le poulet à la broche ce soir?". Le Québécois, un peu moins connu hors du Québec, qui couvre tout le monde, y inclus (très spécifiquement) la personne qui parle. Genre: "ON mange du bon poulet rôti à la broche ce soir?"
Enfin, l'Antillais, parfaitement connu aux Antilles mais nulle part ailleurs, qui vise très spécifiquement une personne (à l'exception de la personne qui parle). Genre: "C'est comme ça qu'ON pense qu'ON fait rôtir un (dégueulasse) poulet à la broche?"
Pas besoin d'ajouter que lorsqu'on entend un ON dans un milieu plurinational francophone, ON a intérêt à savoir de quelle variante il s'agit.
Fin de l'intermède.
Il existe en français plurinational (et non international, esscusez la nuance), trois sortes de "on". Le Français, bien connu, qui couvre tout le monde, sauf la personne qui parle. Genre: "ON fait rôtir le poulet à la broche ce soir?". Le Québécois, un peu moins connu hors du Québec, qui couvre tout le monde, y inclus (très spécifiquement) la personne qui parle. Genre: "ON mange du bon poulet rôti à la broche ce soir?"
Enfin, l'Antillais, parfaitement connu aux Antilles mais nulle part ailleurs, qui vise très spécifiquement une personne (à l'exception de la personne qui parle). Genre: "C'est comme ça qu'ON pense qu'ON fait rôtir un (dégueulasse) poulet à la broche?"
Pas besoin d'ajouter que lorsqu'on entend un ON dans un milieu plurinational francophone, ON a intérêt à savoir de quelle variante il s'agit.
Fin de l'intermède.
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