(17/12/2006) On s'était juré qu'en arrivant, on irait passer quelques jours dans le luxe à la Plantation Leyritz... mais on se trouvait si bien sur le bateau (force de l'habitude, sans doute) qu'on a décidé de demeurer à bord au moins pour le moment.
De toute façon, il y a pas mal de détails à régler, surtout après un aussi long périple: les formalités d'inscription à la marina, la location d'une place de ponton à long terme, l'examen du bateau et des équipements: voiles, gréement, radar (défectueux), etc. Les deux premiers jours, on assiste à un défilé d'experts... tous plus coûteux les uns que les autres. Bof.
De plus, nous avions compté sans le comité d'accueil. Dès le premier midi, la femme et les deux fils de Charles sont arrivés à bord en même temps que notre copain Raymond Marie (par qui nous avions connu le skipper) et le cousin Daniel, qui avait fait un bout avec nous de Belgique en Bretagne l'été dernier. Après la distribution des jambons "pata negra" amenés d'Espagne, ça tourne -- bien sûr -- en party au restaurant Ti-Toques, le meilleur du Marin – bien arrosé au champagne.
Puis c'est le tour de la mère et du frère (gigantesque) de Gérard, qui viennent visiter le bateau. Enfin, il faut communiquer avec la cousine Armande du Diamant pour régler les détails du réveillon de Noël que Marie-José a promis d'offrir à sa famille.
Le lendemain vendredi, nous nous réveillons avec le soleil, pour contempler un spectacle fascinant: une nuée de superbes aigrettes blanches quittent à tire-d'aile les bords de la mangrove où elles ont passé la nuit pour s'égailler dans toutes les directions. Féérique.
La suite est moins drôle. Il faut aller dédouaner le bateau à Fort-de-France, et là, on en apprend une bonne: pour garder le Bum chromé en permanence en Martinique, il faudrait payer un "octroi de mer" s'ajoutant à d'autres taxes, une bagatelle de plus de 50 000 €! Heureusement, un douanier compatissant nous indique qu'il existe une possibilité d'éviter cela: à creuser dans les plus brefs délais.
Au retour à la marina, nous rencontrons Pancho, patron de la boutique "Le Marin pêcheur", grand copain de notre vieux pirate d'ami franco-californien Jean-Marie Deschamps; échange de nouvelles et de promesses de se revoir.
Samedi et dimanche, rythme un peu plus relax: grand ménage à bord avec Cynthia, une jeune femme trouvée par Gérard, récupération de la valise d'effets qu'on avait laissée chez Charles (dont la femme Raphaëlle nous avait préparé un super dîner martiniquais pour l'occasion), flânage dans le bourg et Internet par WiFi au café Mango Bay de la marina.
De toute façon, il y a pas mal de détails à régler, surtout après un aussi long périple: les formalités d'inscription à la marina, la location d'une place de ponton à long terme, l'examen du bateau et des équipements: voiles, gréement, radar (défectueux), etc. Les deux premiers jours, on assiste à un défilé d'experts... tous plus coûteux les uns que les autres. Bof.
De plus, nous avions compté sans le comité d'accueil. Dès le premier midi, la femme et les deux fils de Charles sont arrivés à bord en même temps que notre copain Raymond Marie (par qui nous avions connu le skipper) et le cousin Daniel, qui avait fait un bout avec nous de Belgique en Bretagne l'été dernier. Après la distribution des jambons "pata negra" amenés d'Espagne, ça tourne -- bien sûr -- en party au restaurant Ti-Toques, le meilleur du Marin – bien arrosé au champagne.
Puis c'est le tour de la mère et du frère (gigantesque) de Gérard, qui viennent visiter le bateau. Enfin, il faut communiquer avec la cousine Armande du Diamant pour régler les détails du réveillon de Noël que Marie-José a promis d'offrir à sa famille.
Le lendemain vendredi, nous nous réveillons avec le soleil, pour contempler un spectacle fascinant: une nuée de superbes aigrettes blanches quittent à tire-d'aile les bords de la mangrove où elles ont passé la nuit pour s'égailler dans toutes les directions. Féérique.
La suite est moins drôle. Il faut aller dédouaner le bateau à Fort-de-France, et là, on en apprend une bonne: pour garder le Bum chromé en permanence en Martinique, il faudrait payer un "octroi de mer" s'ajoutant à d'autres taxes, une bagatelle de plus de 50 000 €! Heureusement, un douanier compatissant nous indique qu'il existe une possibilité d'éviter cela: à creuser dans les plus brefs délais.
Au retour à la marina, nous rencontrons Pancho, patron de la boutique "Le Marin pêcheur", grand copain de notre vieux pirate d'ami franco-californien Jean-Marie Deschamps; échange de nouvelles et de promesses de se revoir.
Samedi et dimanche, rythme un peu plus relax: grand ménage à bord avec Cynthia, une jeune femme trouvée par Gérard, récupération de la valise d'effets qu'on avait laissée chez Charles (dont la femme Raphaëlle nous avait préparé un super dîner martiniquais pour l'occasion), flânage dans le bourg et Internet par WiFi au café Mango Bay de la marina.
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