(2/08/2006) Barbate aura été une des rares déceptions du voyage. Le somnolent village sardinier d'antan s'est mué en une grouillante marina à la mode, bien équipée mais tapageuse et sans personnalité particulière. Nous y avons passé la soirée au balcon du Yacht Club (plutôt sympa tout de même), pour en repartir à la première heure le matin suivant.
Retour vers Huelva, que nous dépassons pour mettre l'ancre vers une des plus charmantes surprises de toute l'expédition, la petite ville frontière d'Ayamonte, où la marina se trouve en plein coeur d'un bourg à la fois vivant, relax, typique et accueillant! Bonnes petites bouffes -- en particulier les freiduras (morceaux de poissons et de fruits de mer légèrement frits), et acquisition d'un fabuleux "pata negra" de Jabugo, village voisin célèbre pour ce produit qui se définit modestement comme "le meilleur jambon du monde", sans que personne d'ailleurs n'ose trop protester, même à Bayonne et à Parme.
Nous décidons de laisser le Bum en gardiennage à Mazagon jusqu'à notre retour en novembre: la Grande-Motte était bien tentante, mais ça voulait dire une semaine de plus pour s'y rendre, et surtout une autre semaine pour revenir au point de départ à l'automne, avant de se mettre en route vers les Canaries et les Antilles. D'autant plus qu'avec Pepe de la Luz en charge de la surveillance, rien à craindre, hein?
Retour vers Huelva, que nous dépassons pour mettre l'ancre vers une des plus charmantes surprises de toute l'expédition, la petite ville frontière d'Ayamonte, où la marina se trouve en plein coeur d'un bourg à la fois vivant, relax, typique et accueillant! Bonnes petites bouffes -- en particulier les freiduras (morceaux de poissons et de fruits de mer légèrement frits), et acquisition d'un fabuleux "pata negra" de Jabugo, village voisin célèbre pour ce produit qui se définit modestement comme "le meilleur jambon du monde", sans que personne d'ailleurs n'ose trop protester, même à Bayonne et à Parme.
Nous décidons de laisser le Bum en gardiennage à Mazagon jusqu'à notre retour en novembre: la Grande-Motte était bien tentante, mais ça voulait dire une semaine de plus pour s'y rendre, et surtout une autre semaine pour revenir au point de départ à l'automne, avant de se mettre en route vers les Canaries et les Antilles. D'autant plus qu'avec Pepe de la Luz en charge de la surveillance, rien à craindre, hein?
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